La Lettonie rejette le Pacte des migrations des Nations Unies et porte un autre coup aux forces pro-migration
Le 6 Décembre, le Parlement letton (Saeima) a rejeté la signature du Pacte mondial pour les migrations de l’ONU.
Après un long débat, Saeima a voté par 43 voix contre 31 le rejet du pacte, après avoir reçu le pouvoir décisionnel effectif du cabinet par intérim. La résolution, formulée par l’Alliance nationale, était une invitation à refuser le Pacte.
Latvian parliament just adopted @VL_TBLNNK resolution against the UN Migration pact. Prokremlins voted against together with ultraliberals.
Latvia joins the list of countries, which have rejected this dangerous document. pic.twitter.com/8QP6mfSUIq— Dace (@DaceKalnina) 6 décembre 2018
Selon le décompte des voix, l’Alliance nationale a fait équipe avec le nouveau parti conservateur et les législateurs de KPV LV, ainsi qu’un petit nombre de députés des Verts et des agriculteurs, ainsi que Harmony, New Unity et For Development / For! Les députés ont voté contre la résolution. Neuf autres députés n’ont pas participé aux votes.
Bonjour,
Avec ce pacte international sur les questions migratoires, une fois de plus l’ONU et les pays, Etats nations et autres appellation de ces enclaves territoriales administrées sur la même planète que l’on nomme Terre, est une aberration dont on prend les dispositions une fois de plus par le mauvais bout.
Premièrement il serait souhaitable que l’on fasse un état des lieux des ressources minières, pétrolières, gazières, des réserves et ressources en eau potable, des forêts, etc et que l’on répartissent globalement à l’ensemble de tous sur la planète Terre ses ressources et surtout les profits colossaux que dégage la vente de ces matériaux.
Cela implique de ne plus déstabiliser des gouvernements, d’avoir une politique mondiale vraiment efficiente, tout en laissant chaque état et peuple s’autodéterminer sur ces choix dans tous les domaines que se soit.
Peut-être qu’il n’y aurait pas de monnaie mondiale ou peut-être que si, tout en acceptant que certains Etats souhaite conserver leur autonomie monétaire, mais en instaurant des règles claires appliquées par tous en matière monétaire.
Une fois ces règles ci-dessus instaurées, l’on assisterait inévitablement à une diminution des conflits et ceux restant pourrait ou devraient être réglé par la diplomatie et non par les armes.
Ainsi enfin il n’y aurait plus de nécessité de devoir signer un pacte mondial concernant les flux migratoires.
Bien à vous.
Thierry Poget